Le syndic est désigné par l’assemblée générale des copropriétaires. Les propriétaires d’un appartement individuel sont en effet copropriétaires des parties communes comme la cage d’escalier, l’ascenseur, le jardin ou les caves. Dans un immeuble avec des dizaines d’appartements, il est naturellement difficile de laisser la gestion commune à un syndic non professionnel. Cela peut parfois être le cas dans un complexe d’habitations de plus petite dimension où une poignée d’habitants peuvent désigner un des copropriétaires comme syndic.
Source : Logic-immo.be – Syndic.
Les immeubles à plus de 20 appartements doivent, selon la loi, être gérés par un syndic professionnel. La désignation d’un syndic professionnel qui a suivi une formation de courtier en immobilier présente des avantages déterminants. Dans un premier temps, il est indépendant et est donc la personne par excellence pour porter un regard neutre et objectif sur les différends ou les désaccords entre propriétaires d’appartement. Ensuite, fort de sa formation, il agit en parfaite connaissance de cause, ce qui est absolument nécessaire pour assurer une gestion correcte d’un immeuble à appartements. Le syndic doit avoir une formation en comptabilité et en droit, mais doit aussi être à même de réfléchir, planifier et (ré)agir comme un véritable chef d’entreprise. Il lui arrivera parfois d’être investi du rôle de psychologue ou de médiateur…
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Le syndic assume une responsabilité professionnelle et s’acquitte de toute une série de tâches allant de la gestion technique et administrative à la gestion des sinistres et au suivi de la législation. Et tout travail méritant salaire… L’importance de ses gages dépend des dispositions du contrat conclu avec les copropriétaires. Ces derniers peuvent, le cas échéant, répercuter les coûts d’un syndic professionnel sur les locataires. Il n’y a pas de tarifs ou de barèmes fixes ou recommandés.
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