Aspects financiers

Il est clair que le calcul de rentabilité de votre bien ne se limite pas à multiplier le loyer par 12 pour obtenir un bilan annuel. Premièrement, il vous faut intégrer un éventuel vide locatif. Que ce soit lors de la première mise en location (votre bien ne se louera pas du jour au lendemain), ou lors de l’éventuel départ de votre locataire. Il se peut également que certains travaux de remise en état soient nécessaires et que cela prenne un peu de temps pour trouver un nouveau locataire. Ce vide locatif, les banques l’estiment généralement à 20 %. En clair, si vous louez votre bien à 1.000 € par mois, on estime qu’il vous rapporte en moyenne 9.600 € (1.000 € x 12 x 80%).

N’oubliez pas non plus que votre bien est soumis au précompte immobilier. Dans le cas d’une location à un particulier, c’est au propriétaire de s’en acquitter. Comptez aussi que votre bien se dégrade naturellement et qu’il faut donc provisionner pour les travaux éventuels à y effectuer. En provisionnant 10 % du revenu locatif, vous devriez pouvoir assumer ces travaux sur le long terme.

N’oubliez pas non plus que si votre bien est en copropriété, vous n’êtes pas maître du timing et de la nature des travaux effectués au bâtiment. En clair, si la copropriété décide de changer la couleur de la façade ou de procéder à l’aménagement d’un jardin devant le bâtiment et que la majorité des copropriétaires est d’accord pour effectuer ces travaux, vous devrez suivre et donc… payer !

Source: Logic-immo.be – Rentabilité achat immobilier.

Il est clair que le calcul de rentabilité de votre bien ne se limite pas à multiplier le loyer par 12 pour obtenir un bilan annuel. Premièrement, il vous faut intégrer un éventuel vide locatif. Que ce soit lors de la première mise en location (votre bien ne se louera pas du jour au lendemain), ou lors de l’éventuel départ de votre locataire. Il se peut également que certains travaux de remise en état soient nécessaires et que cela prenne un peu de temps pour trouver un nouveau locataire. Ce vide locatif, les banques l’estiment généralement à 20 %. En clair, si vous louez votre bien à 1.000 € par mois, on estime qu’il vous rapporte en moyenne 9.600 € (1.000 € x 12 x 80%).

N’oubliez pas non plus que votre bien est soumis au précompte immobilier. Dans le cas d’une location à un particulier, c’est au propriétaire de s’en acquitter. Comptez aussi que votre bien se dégrade naturellement et qu’il faut donc provisionner pour les travaux éventuels à y effectuer. En provisionnant 10 % du revenu locatif, vous devriez pouvoir assumer ces travaux sur le long terme.

N’oubliez pas non plus que si votre bien est en copropriété, vous n’êtes pas maître du timing et de la nature des travaux effectués au bâtiment. En clair, si la copropriété décide de changer la couleur de la façade ou de procéder à l’aménagement d’un jardin devant le bâtiment et que la majorité des copropriétaires est d’accord pour effectuer ces travaux, vous devrez suivre et donc… payer !

Source: Logic-immo.be – Rentabilité achat immobilier.

Tout comme pour la vente, fixer un prix de location doit se faire en fonction de la réalité du marché. Ne jouez pas sur l’aspect émotionnel en vous disant que votre bien est mieux que celui du voisin. Le premier critère à retenir est la localisation. Si les appartements deux chambres se louent en moyenne à 800 € dans votre quartier, il faudra prouver que ses équipements sont nettement supérieurs si vous décidez de franchir cette barre fatidique. Cuisine équipée et salle de bain sont désormais des classiques sur le marché de la location.

Si vous louez hors charges, la performance énergétique de votre bien pourra par contre influer quelque peu sur le prix. A condition de ne pas compenser cette performance énergétique par une différence de loyer équivalente. L’état, la luminosité, la qualité des matériaux, la disposition des pièces sont autant de facteurs qui feront de votre bien une location plus prisée que celles des concurrents. Mais ces critères n’influeront que faiblement sur le prix de la location moyen.

Les commerces de proximité et les services tels que les transports en commun, les écoles et les accès aux réseaux routiers, mais surtout autoroutiers sont aussi des atouts qui peuvent différencier votre bien et lui apporter une plus-value locative.

Source: Logic-immo.be – Fixer le prix de location.

 

Tout propriétaire qui désire mettre un bien immobilier en location s’efforce toujours de trouver des locataires solvables et d’obtenir les meilleures garanties.

 

Pour un partenaire commercial, les bases de données commerciales ou même les publications des comptes annuels à la BNB sont un bon indicateur mais pour les particuliers, les moyens d’investigation sont inexistants. On constate dans la pratique que les propriétaires deviennent fort exigeants.

 

Un locataire sérieux et désireux de louer le bien qu’il convoite pourra être avisé de produire au propriétaire son contrat de travail, ses dernières fiches de salaire, la preuve de ses derniers payements de loyer et les coordonnées de son ancien propriétaire, un avertissement extrait de rôle ou toute autre preuve de sa solvabilité. Il proposera éventuellement le payement du loyer par une domiciliation et il communiquera un numéro de téléphone ou une adresse e-mail où on peut facilement le joindre.

 

Lors de la signature du contrat de bail, il sera à tout le moins prudent d’exiger l’encaissement du premier mois de loyer et la preuve de la constitution de la garantie locative.

 

Le propriétaire pourra également souscrire une assurance spéciale « garantie revenus locatifs » qui, à certaines conditions, couvre les loyers impayés et la protection juridique.

 

Source: Logic-immo.be – Trouver un bon locataire.