Intermédiaires de la vente

Vendre vous-même ou via une agence immobilière

Lors de la vente d’une maison, c’est surtout l’acheteur qui dépense de l’argent, mais le vendeur doit aussi faire des frais s’il met sa maison en vente. Lequel exactement?

Vendre par l’entremise d’une agence

L’agence se charge de tout le travail: elle détermine le prix de vente optimal, met la maison en vente, mène des négociations, détermine la meilleure stratégie de vente… Bien sûr, elle ne le fait pas pour rien. En général, vous payez à un agent soit un montant fixe ou un pourcentage du prix de vente final. Dans le cas de maisons plus chères, vous devez donc payer une compensation fixe. En moyenne, les coûts pour une agence se situent entre 1 500 et 3 000 euros pour tous les services.

Mettez votre maison en vente vous-même

Vous économiserez en vendant votre maison vous-même. Mais il ne faut pas négliger certains points comme par exemple les coûts pour la publicité. Rappelez-vous qu’une agence est formée pour les négociations, donc il est sage d’embaucher un agent immobilier pour cette phase du processus de vente. Après tout, une négociation réussie est essentielle pour obtenir un bon prix de vente.

Autres coûts

Il est si facile de vendre votre maison si elle est en bon état. Ici et là, la peinture ou la correction de petits défauts est une bonne idée, mais il n’est pas conseillé de mettre plus de quelques milliers d’euros dans cet embellissement.

Enfin, en tant que vendeur, vous devez payer pour tous les certificats. Cela concerne par exemple le certificat de performance énergétique, le certificat de sol, les recherches au cadastre, l’inspection de l’électricité, etc. Ces coûts peuvent varier entre 500 et 1 000 euros en fonction de la complexité des recherches.

 

Source: www.logic-immo.be

Imaginons que vous souhaitiez vendre votre maison. Vous voudriez bien entendu en obtenir le maximum : une vente rapide à un bon prix. Cela semble simple, et pourtant, ce n’est pas toujours le cas. Tout d’abord, il faut s’occuper de toute la paperasse, sans compter le temps perdu à gérer les visites. Si cette perspective vous donne déjà mal à la tête, mieux vaut se faire aider par un professionnel. Découvrez ici quels en sont les avantages

Un agent immobilier vous garantit le juste prix

Un des aspects les plus complexes dans le processus de vente d’un bien immobilier est la détermination d’un juste prix. Si le prix demandé est plus élevé que celui du marché, votre maison ou votre appartement partira plus difficilement, voire même pas du tout. Si le prix fixé est trop bas, vous y perdrez des plumes. Un agent immobilier permet de réaliser une estimation équilibrée. Il ou elle dispose du bagage technique et d’une connaissance approfondie du marché.

Vendre sa maison : les soucis sont facultatifs

Si vous travaillez à temps plein, vous préférez certainement passer votre temps libre à vous détendre. Il est tout à fait possible d’éviter soucis et autres maux de crâne lors de la vente de votre logement. Faire appel à un agent immobilier vous assure que vos weekends resteront synonymes de repos. Formé et agréé par l’IPI, il ou elle défend vos intérêts de A à Z, vous permettant de vous consacrer à des affaires plus importantes. L’agent immobilier s’occupe entre autres de :

 

  • Préparation du dossier de vente : recherches au cadastre, extraits hypothécaires
  • Gérer le processus de vente : certificats, mise en conformité, vices cachés éventuels
  • Prospection et organisation des visites
  • Etc.

Le réseau de l’agent immobilier

L’atout principal de l’agent immobilier reste son réseau étendu de clientèle. La publicité de votre bien est faite sur internet, dans la presse spécialisée, sur la vitrine de l’agence. En outre, l’agent immobilier est un vendeur professionnel. Un avantage durant les négociations avec les candidats acheteurs pour obtenir le meilleur prix possible.

Source: www.logic-immo.be 

C’est humain, lorsqu’on est propriétaire d’un bien, on est toujours persuadé de détenir une pépite. Et, par conséquent, on surévalue souvent la valeur de ce bien. Logique, on essaie d’en retirer un maximum lors de la vente et il est donc aussi tentant de faire l’impasse sur les agences immobilières et leurs commissions.

Mais si vous décidez de vendre seul, il faut avant tout une bonne vision du marché. Consulter les annonces similaires est une première étape afin de juger de la valeur potentielle du bien. Tenez compte à la fois de la situation, de la nature du bien, de son état et de sa superficie. Se renseigner sur les prix de vente effectifs est encore plus judicieux. Annoncer une maison à 400.000 € ne signifie pas qu’elle se vendra à ce prix-là. A ce titre, la publication des résultats de ventes notariales est une bonne base. Tout comme le prix moyen de vente au mètre carré dans votre quartier. Ne mettez pas un prix d’annonce trop élevé non plus, les acheteurs disposent généralement d’une bonne estimation des prix du marché. En affichant le prix le plus juste, vous avez davantage de chances de vendre votre bien rapidement.

Dernier détail, si les photos de l’annonce donnent généralement l’envie de visiter, ne privilégiez pas uniquement les photos mettant le mieux votre bien en valeur en trichant quelque peu sur la réalité. Un acheteur qui vient avec l’idée de découvrir un bien sur lequel il a flashé dans l’annonce sera plus enclin à passer à l’acte s’il découvre encore mieux que ce qu’il imaginait. En revanche, il sera refroidi si la réalité est nettement moins bien que l’annonce.

Source: Logic-immo.be – Fixer le prix d’un bien immobilier.

Une vente publique est une vente aux enchères où un terrain, une maison ou un appartement est attribué au plus offrant.  On parle de vente publique parce que la vente doit être annoncée au public par voie de publicité, d’affiches ainsi que dans les médias locaux.  Toute personne intéressée peut en principe prendre part à la vente publique et faire une offre.

Vente publique volontaire ou forcée

Lorsque le propriétaire du bien choisit lui-même de mettre son bien en vente  publique, on parle d’une vente publique volontaire.  Dans ce cas, le propriétaire espère obtenir un prix de vente plus élevé en réunissant de nombreux candidats acheteurs afin qu’ils fassent monter les enchères.

L’autre type de vente publique est la vente publique forcée.  Dans ce cas, c’est le tribunal qui ordonne la vente du bien, notamment pour apurer des dettes.

Faire une offre d’achat lors d’une vente aux enchères

Lors d’une vente publique, toutes les offres sont contraignantes.  Faites donc attention à ne pas vous laisser entraîner par le jeu des enchères et faire une offre à la légère.  Si vous souhaitez faire une offre, rendez visite au préalable à votre banquier pour connaître votre capacité d’emprunt.  Ensuite, fixez-vous un montant maximal à ne pas dépasser.  Assurez-vous aussi que le bien correspond parfaitement à vos attentes et faites plusieurs visites (éventuellement avec l’aide d’un spécialiste) avant de vous décider à enchérir.

Une séance de vente publique

Depuis le 1er janvier 2010, la vente publique se déroule en une seule séance, avec éventuellement une mise à prix minimum.  Le montant de mise à prix est déterminé par la valeur du bien, fixée par un expert.  Si, lors de la vente publique, personne ne souhaite enchérir au-delà du montant de la mise à prix, le notaire propose en général une mise à prix inférieure.  Les enchères commencent alors à partir de la nouvelle mise à prix.  Si aucune mise à prix n’a été déterminée au préalable, les enchères débutent à 0 euro.

Si le bien a trouvé acquéreur lors de la première séance publique, il peut être soumis à la faculté de surenchère. Tout amateur, présent ou non lors de la séance de vente, peut surenchérir pendant les quinze jours qui suivent la vente.  En cas de surenchère, l’offre doit être supérieure de 10% à l’offre de la première séance, avec un minimum de 250 € (si le prix est inférieur à 2.500 €) et un maximum de 6.200 € (si le prix est supérieur à 62.000 €).

S’il n’y a pas de surenchère, le bien est attribué à l’amateur qui a proposé l’enchère la plus élevée lors de la première séance de vente publique.  Si la surenchère est exercée, la vente ne sera définitive que lors d’une nouvelle séance de vente.

Source: Logic-immo.be – Vente publique avec notaire.

A côté d’une vente classique dite de gré à gré, il existe une alternative rapide, simple et efficace : la vente publique.

Contrairement aux idées reçues, la vente publique ne se limite pas aux ventes « forcées » sur décision judiciaire. Loin de là… Sachez que 80% des ventes publiques sont volontaires ! Les 20% restants sont en grande partie des ventes « judiciaires », mais volontaires également. Finalement, les ventes dites « forcées » sur saisie immobilière ou sur faillite ne représentent à peine que 3% des ventes publiques.

Si les mécanismes de la vente publique sont moins connus que dans le cas d’une vente de gré à gré, ses avantages sont pourtant multiples :

1) Emulation entre les amateurs. Grâce à une forte visibilité (affiches, annonces, site internet), le bien mis en vente touche un public important. Ainsi, la vente se fait en présence de nombreux amateurs qui se font concurrence dans les enchères. Résultat : le bien sera parfois vendu à un prix nettement supérieur à celui de départ. Dans le cas d’une vente de gré à gré, par contre, le vendeur qui souhaite obtenir le plus haut prix a souvent tendance à surestimer son immeuble, et à demander un prix trop élevé. Cela risque de décourager les amateurs potentiels et d’obliger le vendeur à baisser son prix parfois même en-dessous du prix qu’il aurait pu obtenir s’il avait été au départ plus réaliste et raisonnable.

2) Transparence. La vente publique permet d’éviter des suspicions d’arrangements concernant le prix entre copropriétaires dans des situations tendues, telles que, par exemple, indivision, succession ou divorce… En effet, aucune dissimulation de prix n’est possible puisque ce dernier est fixé aux yeux de tous par le jeu des enchères. De plus, les conditions de la vente sont reprises dans un « cahier des charges ». Ce document peut être consulté par tous les amateurs potentiels, en l’étude du notaire.

3) Sécurité. Le notaire est garant de la sécurité juridique. Il réalise, en effet, avant la vente toutes les recherches fiscales, cadastrales, hypothécaires et urbanistiques… Il se charge également du suivi complet de l’opération. Le vendeur ne doit se soucier de rien.

4) Rapidité. La vente publique épargne le temps nécessaire à la négociation que l’on retrouve dans les ventes de gré à gré. Dès que le vendeur a pris sa décision, la séance de vente publique peut avoir lieu dans les 6 à 8 semaines. De son côté, l’acheteur a ensuite 6 semaines pour payer le prix, sans condition suspensive d’octroi d’un crédit bancaire. L’argent de la vente est donc, la plupart du temps, disponible 3 mois seulement après la décision de vente alors qu’il faut compter au minimum 5 mois dans le cadre d’une vente de gré à gré.

5) Faible coût. La vente publique est peu coûteuse. Ainsi, le vendeur paiera entre 3500 € et 4000 € (couvrant les frais de publicité, les visites par un délégué de l’étude du notaire, la location de la salle des ventes…), alors que, pour une vente de gré à gré, le coût d’une agence immobilière est de 3% du prix de vente + TVA.

6) Liberté. Beaucoup de gens craignent de ne plus pouvoir arrêter la vente publique une fois qu’elle est lancée et d’être forcés de vendre le bien quel que soit le prix. C’est faux : le vendeur reste libre de retirer son bien si le prix proposé est insuffisant par rapport à son estimation. D’où l’importance, dès le départ, de déterminer avec votre notaire le prix sur lequel vous marquez votre accord pour la vente.

Source :www.notaire.be https://www.notaire.be/nouveautes/detail/vente-publique-les-avantages-pour-le-vendeur

Depuis des décennies, les notaires organisent des ventes publiques dans les salles de vente et autres établissements publics. Le notariat a récemment franchi le pas vers Internet. Vous pouvez, dès à présent, vendre et acheter par voie électronique via le site Notaclick.be, tout bien immobilier proposé en vente publique, avec l’aide et sous le contrôle d’un notaire.

Notaclick permet d’organiser une vente entièrement électronique. Vous pouvez donc y enchérir par voie électronique jusqu’à l’adjudication. A un moment donné pour poursuivre les enchères électroniques, vous devrez rencontrer le notaire. Celui-ci effectuera les contrôles imposés et vous fera signer les documents utiles.

Notaclick permet également d’organiser une vente électronique avec une séance en salle. Après une période d’enchères électroniques, le notaire poursuit la vente dans une salle de vente traditionnelle ou un lieu donné. Il y sera toujours possible d’enchérir physiquement.

Dans les deux cas, tout le déroulement des enchères peut être suivi en ligne.

100 % sécurisé

Le notaire joue un rôle essentiel tout au long de la procédure de vente. Il est le garant de la transparence, du parfait déroulement de l’ensemble de la procédure de vente en toute sécurité. Il se tient à votre entière disposition pour toute information complémentaire.

Vous trouverez toutes les informations relatives à Notaclick sur le site web Notaclick.be. Vous y découvrirez également une vidéo d’instructions expliquant en détail le système d’enchères par voie électronique.

Source : www.notaire.be